De nombreuses sociétés veulent aller à Lausanne
La Fête fédérale de gymnastique (FFG) aura lieu dans un peu plus de six mois à Lausanne. Les sociétés devaient s'inscrire jusqu'au 1er décembre et il s'avère que de nombreuses sociétés en Suisse ont annoncé leur participation à la FFG Lausanne 2025. En effet, quelque 2300 sociétés et groupes se sont inscrites aux concours de sociétés et veulent profiter de la fête de la gymnastique sur les rives du lac Léman. La Fédération suisse de gymnastique est fière que le nombre d'inscriptions soit resté stable après la dernière FFG 2019 à Aarau. Cela montre qu'après les années de pandémie, la famille de la gymnastique souhaite à nouveau participer à des événements de grande envergure. Il s'agit là d'un signal fort. La Fédération suisse de gymnastique remercie toutes les sociétés inscrites et se réjouit de vivre avec vous une fête de gymnastique inoubliable en juin prochain.
70'000 gymnastes attendus
Maintenant que les sociétés sont inscrites, il s'agit pour les responsables de nommer les participants. Vous avez jusqu'au 28 février pour le faire. L'objectif souhaité est d'accueillir 70'000 participants en Suisse romande.
Le nombre effectif de gymnastes est décisif pour la direction générale de la compétition autour de Julien Crisinel : « Après l'inscription, le travail sur les plans de compétition pour les sociétés et les gymnastes individuel.le.s commence. Parallèlement, il faut établir des plans d'intervention pour les juges et les fonctionnaires ». Les sociétés inscrites ainsi que le nombre exact de participants, qui sera connu d’ici fin février, servent de base pour ces réflexions. La numérisation et l'inscription via le STV-Contest 2.0 aident la direction des concours : « C'est un défi permanent que de garantir aussi bien la communication vis-à-vis de l'extérieur que celle destinée aux participants. La numérisation croissante exige une coordination parfaite de tous les processus. Par rapport à Aarau 2019, où beaucoup de papier circulait encore, pour cette édition tout est numérique et donc plus direct et personnel », explique Crisinel.